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1. John Krasinski named People magazine's 2024 Sexiest Man Alive  CTV News
2. Sexiest Man Alive John Krasinski on His 'Beautiful Life' – and Wallpapering His House with His Sizzling PEOPLE Cover  PEOPLE
3. Krasinski thought he was being 'punked'  CTV News Calgary
4. John Krasinski Reveals Wife Emily Blunt's Hilarious Response to His Sexiest Man Alive Title - E! Online  E! NEWS
5. Emily Blunt reacts after husband is named 2024 Sexiest Man Alive  The Independent

1. Former B.C. premier John Horgan dies aged 65, after third bout of cancer  National Post
2. Adam Pankratz: John Horgan wasn't your typical NDP premier  National Post
3. John Horgan: Reluctant leader became B.C.'s most-loved premier  Vancouver Sun
4. Premier’s statement on the passing of John Horgan  BC Gov News
5. UBC political scientist remembers former B.C. premier John Horgan’s legacy  CBC.ca

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Regain d'intérêt pour l'actualité, méfiance toujours vive, place croissante des réseaux sociaux: ce sont quelques-uns des enseignements du baromètre annuel sur la confiance des Français dans les médias publié lundi par le journal La Croix.

. Actu: le rebond

Fait marquant de ce baromètre réalisé depuis 1987: le regain d'intérêt pour l'actualité. 76% des sondés (1.500 majeurs interrogés par internet ou téléphone selon la méthode des quotas) disent la suivre "avec un grand intérêt", contre 62% l'an passé.

"C'est le cinquième plus haut niveau en 35 ans", a souligné Jean-Christophe Ploquin, rédacteur en chef de La Croix, lors d'une conférence de presse. Cette proportion est cependant moindre chez les moins de 35 ans (66%).

En outre, quatre sondés sur dix disent s'intéresser davantage à l'actu qu'il y a quelques années. Cela coïncide avec "une actualité riche en 2022" (Ukraine, présidentielle en France...) après la période du Covid, a commenté Guillaume Caline, de l'institut Kantar Public, qui réalise ce baromètre.

C'est toutefois à nuancer par le fait qu'un sondé sur cinq (21%) s'y intéresse moins qu'avant, et même un sur trois (33%) chez les moins de 35 ans.

Et la moitié des sondés (51%) ressent "souvent de la lassitude" envers l'actualité, la fameuse "fatigue informationnelle" pointée par plusieurs études récemment.

. Trop ou pas assez ?

Le Mondial de football au Qatar (pour 48% des sondés), la mort de la reine d'Angleterre (43%) et la pénurie de carburant (40%): voilà les trois sujets dont les médias ont trop parlé en 2022.

A l'inverse, 51% jugent que les médias n'ont pas assez parlé du débat sur la fin de vie. Selon M. Caline, cela montre "l'intérêt des Français pour les sujets susceptibles de les toucher directement".

Le traitement de la guerre en Ukraine suscite des avis partagés: 41% pensent que les médias en ont parlé au juste niveau et 38% qu'ils en ont trop parlé.

. La télé centrale

Journaux télé, radio, chaînes info, sites internet, quotidiens papier, réseaux sociaux: chaque jour, les Français utilisent en moyenne près de 4 canaux pour s'informer.

Mais, dans cette "multiplicité des sources d'info", la télé "garde une place centrale", selon M. Caline. Ainsi, les JT sont le canal que les sondés privilégient pour s'informer au quotidien, quel que soit l'âge (35% sur l'ensemble du panel).

Chez les 18-24 ans, les réseaux sociaux arrivent deuxièmes, alors que cette place est occupée par les chaînes info dans toutes les autres classes d'âge.

. Méfiance, toujours

Même si le jugement est moins sévère que l'an dernier, la perte de confiance reste une tendance de fond. Plus de la moitié des sondés (54%) pense que, "la plupart du temps, il faut se méfier de ce que disent les médias sur les grands sujets d'actualité".

Pour autant, "ce réflexe de méfiance" existe surtout quand on considère les médias "de manière globale", en tant qu'"institution", a pondéré M. Caline: "Pris isolément, c'est bien moins négatif".

Ainsi, parmi les sondés qui s'informent via les JT, 73% leur font confiance. Cette proportion est aussi de 73% pour la radio, 66% pour les quotidiens nationaux mais seulement 46% pour les émissions d'actualité et de divertissement à la télé et 40% pour les influenceurs.

Par ailleurs, l'image des journalistes reste dégradée: 59% des sondés pensent qu'ils ne résistent pas aux pressions politiques et 56% à celles de l'argent.

. Jeunes et réseaux

Les réseaux sociaux "ont fait leur trou" comme source d'information, "notamment chez les plus jeunes", a noté M. Ploquin. Toutes générations confondues, 35% des sondés les utilisent quotidiennement dans ce but.

Paradoxalement, seuls 36% de ceux qui s'informent sur les réseaux leur font confiance.

Et le rapport à cette source d'information met en évidence "un fort clivage générationnel", selon M. Caline.

Ainsi, après 35 ans, 6 sondés sur 10 pensent que la diffusion sur les réseaux d'informations par "des personnes qui ne sont pas des médias ou des journalistes" est une mauvaise chose.

Une proportion qui s'inverse chez les plus jeunes: la moitié des moins de 35 ans juge au contraire que c'est une bonne chose.

C'est la rentrￜe politique. Et qui dit rentrￜe, dit universitￜ d'ￜtￜ. Cette annￜe, la Rￜpublique en marche a vu les choses en grand en organisant ￜ la fois des journￜes...

Hasard du calendrier ou volontￜ de prￜserver le nouveau Premier ministre ? Selon Mediapart, une enquￜte judiciaire ouverte par le parquet de Perpignan, potentiellement gￜnante pour Jean Castex, a ￜtￜ...

Des files d'attente, la nuit, devant les prￜfectures, pour tenter d'obtenir un rendez-vous afin de demander ou de renouveler un titre de sￜjour. C'ￜtait la rￜalitￜ au dￜbut des annￜes...

E-government serves as a vital channel for citizen interactions with the public sector, where user enjoyment is of paramount importance. To date, few studies have comprehensively examined the determinants of citizen enjoyment in e-government. To address this research gap, we administered a survey and gathered data from 363 Australian residents using myGov for tax filing. Our analysis revealed a pronounced discrepancy between reported enjoyment and the intention to continue using the services. Although users demonstrated a strong intent to use e-government services, this intent did not uniformly align with enjoyment. Additionally, informed by self-determination theory, we developed and tested an e-government service enjoyment model to study the impacts of effort expectancy, technophilia, technology humanness, and engagement in fostering user enjoyment. Unexpectedly, the results showed that information privacy concerns, commonly seen as a deterrent in e-government adoption, did not significantly affect enjoyment. Our findings advance the discourse on e-government service improvement.

Drawn from technology acceptance model, this study establishes a theoretical framework for the analytical interpretation of factors affecting job-seekers intention to use e-recruitment websites. Using the data obtained from 379 respondents in India, ten hypotheses derived from the experimental model are evaluated using a structural equation modelling technique. Vividness, perceived usefulness (PU), and attitude have been shown to have a significant positive impact on the behavioural intentions (BIs) of job-seekers, although perceived ease of use (PEOU) did not. Furthermore, perceived internet stress (PIS) is observed to be a significant antecedent PEOU; and PEOU is of PU. Such findings broaden our knowledge of e-recruiting in various ways and offer qualitative insights into the potential impact of website functionality on the attractiveness of job-seekers.

This study aimed to assess the level of GW in Jordanian university students and compare the level of awareness of students according to their academic level (high and low), faculty (science and humanities), gender (male and female), and year of study (first and final years). This study is quantitative research that provides a comprehensive view of GW in Jordanian universities. A total of 383 university students of currently registered undergraduate programs from six independent universities in Jordan were recruited. An online questionnaire covering three aspects of GW was sent to participants in December 2020. Inferential and descriptive statistics were used to analyse data. Participants had 'good' (67%) overall knowledge about GW, a 'very good' level of GW causes (81%), and a 'poor' level of knowledge about the GW impacts on humans and the environment (47%) and knowledge about GW possible solutions (59%). Significant differences were founded between males and females, students from scientific faculties and students from other faculties, students with higher academic achievement than lower achievement in the total GW knowledge. But no significant differences were between students in the first year and the final years.

Pair programming is a collaborative programming practice that places participants in dyads, working in tandem at one computer to complete programming assignments. Pair programming studies with Computer Science (CS) and Software Engineering (SE) majors have identified benefits such as technical productivity, program/design quality, academic performance, and increased satisfaction for their participants. In this paper, pair programming is studied with Management Information Systems (MIS) majors, who (unlike CS and SE majors taking several programming courses) typically take only one programming course and often struggle to develop advanced programming skills within that single course. The researchers conducted two pair programming experiments in an introductory software development course for MIS majors over three semesters to determine if pair programming could enhance learning for MIS students. The program results, researchers’ direct observations, and participants’ responses to a survey questionnaire were analyzed after each experiment. The results indicate that pair programming appears to be beneficial to MIS students’ technical productivity and program design quality, specifically the ability to create programs using high-level concepts. Additionally, results confirmed increased student satisfaction and reduced frustration, as the pairs worked collaboratively to produce a program while actively communicating and enjoying the process.

The use of electronic means of a public official in carrying out their duties may lead to an instance wherein the person discloses confidential information, which can significantly impact their obligations. After verifying this act as part of electronic misconduct, disciplinary action is enforced upon the concerned party to rectify and ensure proper functioning in delivering public services without any disturbance or infringement. The study presents several significant findings regarding the absence of comparative regulations concerning electronic violations and their judicial evidence. It provides recommendations such as modifying legislative frameworks to enhance public utility disciplinary systems and incorporating rules for electric violations. The fundamental focus revolves around assessing, verifying, and punishing digital misconduct by management or regulatory bodies. Additionally, this research employs descriptive-analytical methods comparing the Jordanian Law with its Egyptian counterpart in exploring these issues.